Page:La France foutue, 1796.djvu/76

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
62
LA FRANCE FOUTUE,

PUISAYE, (l’arrêtant).

Laissez-la dans leurs bras, moi je m’attache à vous.

FRÉDÉRIC, (montrant son pénis).

Je bande le premier, c’est à moi la victoire.

L’ANGLETERRE.

Foutez-la, Frédéric, vous en aurez la gloire.

FRANÇOIS.

Tracez-nous le chemin, nous le suivrons après (57).

CHARLES.

Pour la foutre à mon tour, moi je me branle exprès (58).

PUISAYE, (à la Vendée).

Resterons-nous tous deux à regarder les autres ?
Vous voyez mon priape avec ses deux apôtres ;
À prendre un pucelage on m’a dit qu’il est bon :
Voulez-vous le garder pour le vit d’un breton ?
Voulez-vous le garder pour le(Il la baise).

LA VENDÉE.

Vous me faites du mal !