Page:La Guirlande de Julie, éd. Uzanne, 1875.djvu/83

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LE NARCISSE.


Madrigal.

 


Epris de l'amour de moy-même,
De Berger que i'estois ie deuins vne Fleur;
Faites proffit de mon malheur,
Vous que le Ciel orna d'vne beauté suprême;
Et pour en euiter les coups,
Puisqu'il faut que tout ayme, aymez d'autres que vous.

De M. HABERT, cap. de l'artillerie.