Aller au contenu

Page:La Messaline française, 1789.djvu/63

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

sur deux chaises écartées l’une de l’autre, ce qui lui tenait les cuisses très-ouvertes ; de cette manière sa tête n’allait que vers la moitié du lit ; la duchesse occupait l’autre moitié, ses fesses étaient appuyées contre la tête d’Agathe, et sa toison lui formait une couronne : elle avait également les cuisses très-écartées. Je m’étendis à mon tour sur Agathe, et pendant que je l’exploitai, je baisais alternativement et la bouche d’Agathe et le bijou de la duchesse. Enfin, ma langue se fixant sur ce dernier, je la dardais avec rapidité : je dévorais, je suçais l’intérieur de ses lèvres, son clitoris. La Duchesse ne peut supporter longtemps l’excès de volupté que ma langue lui procure. Bientôt elle succombe à ses transports… Les réservoirs du plaisir sont ouverts, je reçois la liqueur qui découle, elle redouble ma vigueur qui bientôt est anéantie, en même temps qu’Agathe se pâme entre mes bras.

Telle a été la vie que j’ai menée pendant très-longtemps avec la duchesse de Polignac. Un jour je lui demandai comment, avec un tempérament aussi ardent que le