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Page:La Mettrie - Œuvres philosophiques, éd. de Berlin, Tome second, 1796.djvu/108

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an rirnnrz isns jix rncnrri. Ce dmia^ ae inné zzz muraurs ; il ^ Jcûeaic.ir^uiïCUES tczz i ihc^e :, ^ .Tzzrrjçsr Tiare ai arsnie nain ie hee-^sh, c^mne 3a^c le rricnrîhôHr rivii ie Lierai* «tt-it «a pcène sodeme cniia ne par ccmçsr^r î Taicien. Hais <çn icane ce caau ? Fa^-C le rrresr ? Le ciûc <fes f^îdes rércgrsdsns , on des £II :Î3* <pi ae pex^esc écre dirixis t fins ciocTtr True» fe^ :e : ."* dz , pour aî^£ iire, i 7cnrà2£ti i ; r.’rrg f ce , CiVT-nte ca £Li, la fcece f- imr«e=er :r serrée de £irts ci £ir*s f i £fr p—xïpilfCj^ : ferrîr. Qse’Je h’.p«rjefc p-js rralr^ecrcife & p !--s t^r ï

Loir* dlci tcos ces agens coryords & : gro5ers f q»i désLofjcrent fes aj :.cs animales par des esepar raifort mécaniques & trivial», bien dignes des vils ouvriers qai les fost. Qui voit, qui entend , q-ji lent par foHiiémc & de loin, na que Élire qu’on ait la complaifance d’aller an-devant d’elle , peur obvier a une foiblefle de myope , qui ne peut avoir une vue auflï forte que celle de notre amc. Loin d’ici, encore une fois, toute doârine qui fait du cerveau une table originairement rafe Se polie, fur laquelle rien ne viendroit fedeffiner, fan* cette ouverture des fens où pafTe toute la nature ; mais qui ainfi vitrée, pour être magnifiquement ornée , & former un jour la plus belle galerie de tableaux, n’attend que les couleurs de