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Page:La Mettrie - Œuvres philosophiques, éd. de Berlin, Tome second, 1796.djvu/110

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tête» Sri confcquence de ce jour-là,, lame voir cependant ; prodige ! myftcm ! Cdt tant, aa qu’on ftit. Ntarton , le gnuidNewtair r qui ; femhle avoir parte les bornes ? de refprir humain r mont&, l’optique à 1* main , (Ur le ? épaules qua^cée* de tous ce* animaux qu’on appelle anaamiftey r n’m Avoir pas davantage Au Étic delà diofe r il igna*foit ?

le ftiùTtukfo. £r celui qui * été cour Œnfemhlc 

farchice&e & le réformateur <funr anr r dbntleff manœuvre* que je tfiens de déacmmsn lui ont &urni y n’en déplaife à Traïïes T prdiquK mus les matériaux- , posant éepetu&oc devrac fei k flambtzï

  • étnvté tonte autre ûéocit «par Fînmncranrrf

Àngïote *>ft i (^ ^ pfe» loin, « A feectiFftoflde la {teinture de* objets far la rarâe, » difoit-il y t^ffle voit. Je ne lais rien de plus » ( fi ee ff efl dea fyftémes ) fur tous les fens , fi dont je ftic fai* gloire d’ignorer laâion ulté-

  • fleure k immédiate»*

Si telle eft 1* pénétration de l’efprit humain dans cent qui l’ont portée plus loin , ô que l’homme a bien ftijet de l’enorgueillir f Enfin peu m’Importent tous les fyftémes ; il eft facile de ft confeler d’une ignorance que les lèuls IgnahMS 11’âwuent point. Je plaide pour Famé de mes fteH» j & pourvu que ce foit elle qui voie, & HOtt le corps , t’eft tout ce que je demande ; car ce tyll te dit dta fcn* , dt âuffi applicable à tous les