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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/13

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LA NUIT
MERVEILLEUSE.

Madame d’Arbonne me prit sans m’aimer ; elle me trompa : je me fâchai ; elle me quitta. Cela était dans l’ordre. Je l’aimais alors, et pour me venger mieux, j’eus le caprice de la r’avoir, quand à mon tour, je ne l’aimai plus. J’y réussis et lui tournai la tête, c’est ce que je demandais.

Elle était amie de madame de

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