Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/14

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Terville, qui me lorgnait depuis quelque tems, et semblait avoir de grands desseins sur ma personne. Elle y mettait de la suite, se trouvait par-tout où j’étais, et me menaçait de m’aimer à la folie, sans cependant que cela prit sur sa dignité et sur son goût pour les décences ; car, comme on le verra, madame de Terville y était scrupuleusement attachée.

Un jour que j’allais attendre madame d’Arbonne dans sa loge à l’opéra, j’arrivai de si bonne heure que j’en avais honte ! on n’avait