Aller au contenu

Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/131

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 117 )


et tu conviendras que, pour en faire les honneurs, il ne pouvait mieux choisir que sa femme. » Personne n’était plus pénétré que moi de cette vérité, « Quelque plaisant que cela soit, mon cher, motus ; le mystère devient plus essentiel que jamais. Je saurai faire entendre à madame de Terville que son secret ne saurait être en de meilleures mains. — Crois, mon ami, qu’elle compte sur moi ; et, tu le vois, son sommeil n’en est point troublé. Oh ! Il faut convenir que tu n’as pas ton second pour endormir une femme.