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Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/132

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— Et un mari, mon cher ; un amant même au besoin. » On avertit enfin qu’on pouvait entrer chez madame de Terville : nous nous y rendîmes avec empressement.

« Je vous annonce, madame, dit en entrant notre causeur, vos deux meilleurs amis. — Je tremblais, me dit madame de Terville, que vous ne fussiez parti avant mon réveil, et je vous sais gré d’avoir senti le chagrin que cela m’aurait fait. » Elle nous examinait l’un et l’autre ; mais elle fut bientôt rassurée par la sécurité de Valsain,