Aller au contenu

Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/86

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
( 72 )

diesse de ces principes : je les trouvais sublimes ; et je me sentais déjà une disposition très-prochaine à l’amour de la liberté.

« La belle nuit, me disait-elle ! les beaux lieux ! Il y a huit ans que je les avais quittés ; mais ils n’ont rien perdu de leurs charmes ; ils viennent de reprendre pour moi, tous ceux de la nouveauté. Nous n’oublierons jamais ce cabinet, n’est-il pas vrai ? le château en recèle encore un plus charmant ; mais on ne peut rien vous montrer : vous êtes comme un enfant qui veut tou-

jours