Aller au contenu

Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/87

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 73 )

cher à tout ce qu’il voit, et qui brise tout ce qu’il touche. » Un mouvement de curiosité, qui me surprit moi-même, me fit promettre de n’être que ce qu’on voudrait. Je protestai que j’étais devenu bien raisonnable. On changea de propos.

Madame de Terville aimait mieux les raisons que la raison. « Cette nuit, me dit-elle, me paraîtrait complettement agréable, si je ne me faisais un reproche. Je suis fâchée, vraiment fâchée, de ce que je vous ai dit de madame d’Arbonne. Ce n’est pas que je veuille me plain-

G