Page:La Retraite de Laguna (Plon 1891).djvu/161

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et accessible au regard, excepté sur un point à quelque distance devant nous, et que nos éclaireurs n’avaient pas reconnu ; une sorte d’escarpement y masquait ce qui se trouva être une profonde dépression du sol situé au bas d’une pente douce qui se relevait vers la Machorra, dont nous suivions le chemin. Le soleil montait toujours ; il était onze heures.