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auprès de vous votre fils et votre gendre. Vous mangez avec des amis, et c’est vous qui leur donnez la chair de vos troupeaux. » Il secoua la tête avec un sourire mélancolique : « Ce ne sera plus jamais ma ferme du Jardin. »
Cependant le colonel, après s’être entendu avec Barbosa sur les moyens de tirer encore du bétail des prairies de son beau-père, ordonna la marche en avant.