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Page:La Revue belge, année 4, n° 80, 15 août 1891 (extrait Lamento).djvu/6

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Le palmier s’est brisé sous les coups de l’orage :
Tu ne pourras jamais t’asseoir sous son ombrage !
Sa racine est séchée et son feuillage est mort !
Souvent tu songeras la nuit, avec remord,
Au beau palmier brisé sous les coups de l’orage :
Tu ne pourras jamais l’asseoir sous son ombrage !


CHARLES BELTIENS.