470 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE — L’éloquence ne consiste pas seulement dans les paroles , 349. — Ce qu’on doit craindre en parlant de soi, 3 14. — H ne faut pas parler souvent des défauts de ses amis, 3 19. — Il ne faut pas parler de sa femme, moins encore de soi, 364- — L’envie de parler habilement de nous fait une grande partie de notre sincérité, 383, et Ré- flexions diverses , p. 296. — Comment les hommes parlent de leur conduite, maxime .ij^^. — Quand il est le plus diffi- cile de bien parler, 556. — On oublie les choses quand on est las d’en parler, 595. Dans quel cas on parle trop sèchement, Réflexions diverses, p. 284- — Ne parler de ce qui regarde nos amis qu’au- tant qu’ils le permettent, p. 285. — On ne parle pas de tout sur un même tou, p. 288. — Il faut parler aux autres de ce qui les touche et selon leur humeur, p. 291. — • Il ne faut pas parler longtemps de soi, ni prendre des airs d’au- torité; les paroles ne doivent pas être plus grandes que les choses, p. 292. — Il ne faut pas trop parler d’une même chose, p. 293. — Ne se forcer jamais à parler, p. 294. — Dans quel cas surtout il faut faire atten- tion à ses paroles, p. 298. Pakube. Ce qu’elle est aux belles personnes, maxime 401. Passer SfI de On ne peut se passer des autres, mais les au- tres ]>cuvent fort bien se pas- ser de nous, uaxime 101. Dans le monde, il faut savoir se pa-.ser les uns des autres, Réfixions diverses, p. 283. Passions [galantes . Voyez Af- FECTioxs, Amour, Gai-a>t. Passion, Passions. Leur durée ne dépend pas de nous, maxime 5. — Ce que la passion fait d’un habile homme et ce qu’elle fait d’un sot, 6. — Elles produi- sent souvent les grandes et écla- tantes actions, 7. — Leur effet sur l’éloquence, 8. — Pour- quoi on doit s’en défier, 9, — La ruine de l’une est l’établis- sement d’une autre, 10. — Elles engendrent souvent leurs contraires, 11. — Elles se lais- sent toujours voir, 12. — On fait vanité des plus criminelles, 27. — Comment on leur ré- siste, 122. — On en est près, même lorsqu’elles paraissent éloignées, 188. — C’est par la sienne qu’en amour on est heu- reux, 239. — Celle de l’amour est la plus égoïste, 262. — La paresse les détruit, 266, — EIle« sont moins opposées au salut que la tiédeur, 34 1- — Elles mettent au jour les talents, et jious donnent des lumières, 404. — Celle qui nous rend le plus ridicules, 422. — Celle qui nous agite toujours, 443- — Nous ne savons pas tout ce qu’elles nous font faire, 4^0’ — Celle qui sied le moins mal aux femmes, ^6ic>. — Toutes les passions ont leurs bizarreries, 472. — Effet de leur guérison, 485. — Celle qui manque le plus souvent son but, 491 • — Oq gémit de leur tyrannie, et on ne veut pas s’en guérir, 527. — Ce qu’elles sont, 53 1 et 564. — Plagie de celle de l’amour- propre, 563. — Les grandes âmes ne sont pas celles qui en ont le moins, 602. — Ce qu’on nomme vertu n’est souvent qu’un fantôme formé par les passions, 606. — Quelle est la passion la plus forte et la plus
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