Page:La Rochefoucauld - Œuvres, Hachette, t1, 1868.djvu/610

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474 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE. l’ordure , Réflexions dUerses , p. 309. Pourpre (Le). La calomnie a produit la maladie du pour- pre, Réflexions diverses ^ p. 3ii. Pratique. Ce qui nous fixe dans la pratique des vertus, maxime 598. Préceptes. Voyez Conseils, Sen- tences. — Pourquoi les vieil- lards donnent de bons pré- ceptes, maxime 98. — Effet de ceux des philosophes, 589. Préférence , Préférer. C’est nous que nous préférons dans nos amis, maxime 81. On se préfère toujours aux autres ; c’est un désir naturel qu’il faudrait cacher, Réflexions diverses, p. aSa. Préoccupation, Préoccupé. De l’homme préoccupé de son mé- rite, maxime 92. — La préoc- cupation des hommes nous les rend contraires, a68. — Effet de notre préoccupation en no- tre faveur, 607. La préoccupation person- nelle trouble le goût. Réflexions diverses^ p. 3o6. Présent (Le tejips). Voyez Ave- nir. — Lavarice n’a tantôt en vue que le présent, tantôt que l’avenir, maximes 491 et ^Ç)’i. — On ne sait pas ce qu’on veut, même dans le présent, 573. Prétextes. Faux prétextes de nos afflictions, maxime 28 2. — Pré- textes pour ne pas considérer la mort, 5o4. Prévoyance. La pitié est pré- voyance du malheur possible, maxime 264. Princes. Voyez Grands, Rois. Probité. Il est difficile de la distinguer de l’habileté, maxime 170. — Principe de celle des marchands, aaS. Procédé. Voyez Actions, Expé- dients , Moyens. — Combien il est difficile de juger d’un procédé, maxime 170. Procès. Maladies qu’ils causent, Réflexions diverses, p. 3il. Prochain (Le), Autres, Autrui. On supporte aisément les maux du prochain , maxime 19. — Pourquoi on remarque ses dé- fauts , 3i. — Pourquoi nous nous plaignons de son orgueil, 34.— Pourquoi nous reprenons ses fautes, 87. — La félicité ne consiste point à avoir ce qu’il trouve aimable, 48. — II n’est pas aisé de le tromper, II 5 et 117. — On se déguise à autrui, 119. — Il ne faut pas se croire plus fin que lui, 127. — Sagesse aisée pour les autres, 182. — On diffère au- tant de soi que des autres, i35. — Un mauvais moyen de leur plaire, 189. — Pour- quoi nous exagérons leur mé- rite, 143. — Comment nous découvrons leurs défauts en les louant , i45. — Il est plus aisé de les gouverner que de n’être pas gouverné soi- même, i5i. — Pourquoi leur flatterie nous nuit-elle? i5a. — Pourquoi nous acceptons leurs opinions, 181. — Pour- quoi nous leur avouons nos défauts, 184. — Nous ne pou- vons nous passer d’eux, 201. — L’envie de les abaisser fait notre valeur, 21 3. — Com- ment on se sacrifie à eux, 236. — Quand on les incommode, 242. — C’est pour les soumettre qu’on se fait humble, a54. — Pourquoi nous les secourons, 264. — Il ne faut pas être glorieux avec eux, 307. — Ce qui nous rend leur vanité in- supportable, 389. — Ce qui