Aller au contenu

Page:La Tailhède - De la métamorphose des fontaines, 1895.djvu/45

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ODE
À CHARLES MAURRAS

Heureux qui sait aux vers assurer son esprit,
D’eux-mêmes recevant la prudente éloquence,
À des soins occupé dont l’ardeur le nourrit ;
Et bienheureux un cœur qui n’a d’autre science
Que celle des leçons que mon maître m’apprit.