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Page:La Vaudère - Les Androgynes, 1903.djvu/270

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LES ANDROGYNES

traire, heureuse quand son effort amenait un sourire sur les lèvres du poète.

— Ah ! disait-il, tes bonds de diablesse sont des bonds d’ange déchu ; et si tes ailes ont roussi au feu du sabbat, petite Zélie, ton cœur a gardé la couleur du ciel !…