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LES ANDROGYNES

en suivre le dessin sur son corps, s’attardant aux mystérieuses cachettes où les flocons blottis se mêlaient d’un peu d’or. Pensive, elle n’opposait nulle résistance, envahie par une volupté inconsciente.

— Tu sais bien que je t’aime, s’écria-t-il, comme elle le remerciait d’un sourire heureux, mais la vie est méchante ! Je ne veux pas que tu vendes ton collier pour moi !…