Page:La Ville de Mirmont - L’Horizon chimérique.djvu/38

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Je regrette des paysages de coteaux
Aux fleuves traversés par des ponts à dos d’âne.
La route poudroyait, comme disait sœur Anne ;
Les moulins agitaient leurs quatre bras égaux.
Qu’est-ce que l’on a fait de vos âmes de toile,
Ô mes moulins à vent, ô mes vaisseaux à voiles ?