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HÉLAS ! QU’ELLE EST À MON GRÉ
Hélas ! qu’elle est à mon gré,
Celle que n’ose nommer !
Hélas ! qu’elle est à mon gré,
Celle que n’ose dire !
L’autre jour jouer m’allay
En marchant[1] la verdure ;
Trouvai la belle en un pré,
Sur l’herbe qui point[2] dure.
D’amours faisait un chapelet[3] :
Vrai Dieu ! qu’il était bien fait !
Par amour lui demandai
Et elle me l’octroie.