Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 01.djvu/408

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Ça doit t’aller, viens-y ! » Et je l’attends, c’est bien plus nature.


Scène III

Médard, Tourterot ; puis Poupardin
Médard, rentrant par la gauche.

Monsieur, l’écriteau est perché.

Tourterot.

Et le déjeuner ?

Médard.

Sur le gril.

Tourterot, à lui-même.

Et mon fils qui n’arrive pas !… Où peut-il être ?…

Médard, croyant qu’il n’a pas compris, en remontant.

Sur le gril, monsieur.

Tourterot.

Quel haricot que ce Médard !

Poupardin, sur le seuil, au fond.

« Maison à vendre… » Je touche, ce me semble, au but de mes pérégrinations. (À Médard.) M. Tourterot, rentier ?

Médard, lui montrant Tourterot.

C’est ça, monsieur.

Poupardin.

Je viens pour… l’immeuble.

Médard sort par la gauche.