faire arrêter le commandant ? Sans vous, nous étions tous là-bas, à midi !
Mais rien ne vous empêchait d’y être à deux heures.
Ce n’est pas la même chose.
Pourquoi ?
Vous me demandez pourquoi ? Parce que… non, vous ne saurez pas pourquoi ! (Avec colère.) Assez de services, monsieur ! assez de services ! Désormais, si je tombe dans un trou, je vous prie de m’y laisser ! j’aime mieux donner cent francs au guide… car ça coûte cent francs… Il n’y a pas de quoi être si fier ! Je vous prierai aussi de ne plus changer les heures de mes duels, et de me laisser aller en prison si c’est ma fantaisie.
Mais, monsieur Perrichon…
Je n’aime pas les gens qui s’imposent… c’est de l’indiscrétion ! Vous m’envahissez !…
Permettez…
Non, Monsieur ! on ne me domine pas, moi ! Assez de services ! assez de services !