Ah çà ! si personne ne travaille, qui est-ce qui labourera la terre ?
J’attendais cet argument. Nous aurons des machines.
Et pour les vendanges ?
Des machines.
Et pour les enfants ?
Et qu’est-ce qui fera les machines ?
D’autres machines. La terre ne sera plus qu’une grande famille de machines qui s’engendreront les unes par les autres et de cette façon… je serai très clair. (Avec volubilité.) En combinant les divers éléments de la production régénérés par les bienfaits de l’association et fonctionnant sous la pression permanente de l’État dont l’impulsion vivifiée par la solidarité garantielle se rattache si essentiellement aux intérêts de l’agriculture, nous touchons à la solution du grand problème…
Bravo ! bravo ! bravo !
Je suis clair, voilà tout.