Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 04.djvu/39

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Fourcinier.

Rassurez-vous, on est prévenu… je vous ai fait malade…

Dutrécy.

Merci… Priez d’entrer…

Fourcinier.

Je ne veux pas les rencontrer… cela me retarderait… (Indiquant une porte sur le côté.) Je passe par là.

Dutrécy.

Attendez donc ! dites-moi au moins ce qu’ils me veulent.

Fourcinier.

Puisque vous voulez le savoir, il s’agit d’un mariage.

Dutrécy.

Pour Moi ?

Fourcinier.

Pour votre nièce.

Dutrécy.

Quelle nièce ?

Fourcinier.

Parbleu ! vous n’en avez qu’une… Thérèse… qui est en pension.

Dutrécy.

Ah ! c’est juste ! chère enfant !…

Fourcinier.

Il l’avait oubliée ! quel homme !…

Il sort par le côté.