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Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 05.djvu/150

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Cocarel.

Ca fait deux !

Il met la pierre dans sa poche.

Cordenbois.

Oh ! je suis d’une impatience !… présentez-moi !

Cocarel.

Restez ici… elle va venir seule dans ce petit salon.

Cordenbois.

Quand ça ?

Cocarel.

Tout de suite. Je ferai en sorte que personne ne vous dérange… et surtout… (S’interrompant.) C’est drôle comme ça sent le musc !

Cordenbois.

Ne vous inquiétez pas de ça… vous me disiez : "Et surtout ? "

Cocarel.

Surtout ne bombez pas comme ça ? (Près de la porte.) Vous bombez trop !

Il entre à droite.


Scène X

Cordenbois ; puis Léonida ; puis Cocarel
Cordenbois, seul.

C’est ma ceinture… Si je l’ôtais ?… Oh ! non !… elle pourrait me surprendre… C’est drôle ! je suis ému… comme un enfant… si j’allais ne pas lui plaire… Relevons mes boucles…