Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 05.djvu/410

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Emile.

Comment, mon gendre ?

François.

C’est moi… Trugadin !… le père d’Hermance.

Emile.

Comment ! avec ces mains-là ?…

François.

Ne faites pas attention. (Avec fierté.) C’est de ma teinture !… Quant à vos billets… je les lui enverrai… à Stettin !

Emile.

Je suis désolé du petit mouvement d’impatience…

François.

Il m’a été droit au cœur !

Emile.

Mais vous ne pouvez rester dans ces vêtements. (À Bidonneau.) Jean !…

François.

Non, c’est Bidonneau… mon caissier.

Bidonneau.

Et votre locataire.

Emile.

Bien ! je n’ai plus de domestiques !

Bidonneau.

Si nous causions un peu de ma cheminée… Monsieur, par le vent d’ouest…

François.

Plus tard… après la noce…

Bidonneau.

Mais elle va continuer à fumer…