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Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 05.djvu/409

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Scène XV

Les Mêmes, François
François.

Monsieur a sonné ?…

Emile.

Tu as porté tantôt cette lettre à mademoiselle Mandolina ?

François, à part.

Aïe ! (Haut.) Non, monsieur… je n’ai pas eu le temps… La voici…

Il tire la lettre de sa poche.

Emile, joyeux.

C’est un coup du ciel !

Bidonneau.

C’est un coup du ciel.

Emile, à Bidonneau.

Nous allons l’ouvrir, et vous verrez que la rupture est complète.

François, avec joie.

Une lettre de rupture ! Voyons ! (il ouvre la lettre.) "N, i, ni… c’est fini ! " Enfin !

Emile, l’apercevant.

Hein ? il décachette mes lettres ! animal !

Il lui donne un coup de pied.

François.

Oh ! (Ouvrant ses bras à Emile.) Ah ! mon gendre.