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qui déchirent ! allons donc ! je parie vingt francs que tu ne te maries pas !
OCTAVE.
Je les tiens !
POTFLEURY, à part.
Ah ! bigre ! c’est sérieux !… je suis mordu !
OCTAVE.
D’abord, le mariage ne coûte pas autant que vous croyez… Quant aux enfants… j’espère que le ciel ne m’en accordera qu’un… Et puis, voyez-vous, il vient un moment où le cœur… le cœur…
POTFLEURY.
Va donc toujours !
OCTAVE.
Éprouve le besoin de se reposer sur des affections plus sérieuses…
POTFLEURY.
Ah çà ! elle est donc bien riche ?
OCTAVE.
Pas mal… deux cent mille francs !
POTFLEURY.
Tu as plus que ça !
OCTAVE.
Oui, mais elle a un père !
POTFLEURY.
Qui tousse ?
OCTAVE.
Non, presque pas… mais il a de vastes terrains parfaitement situés dans une rue qu’on va percer… Il ne le sait