Aller au contenu

Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 07.djvu/223

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

négresses !… Ah ! tu veux embrasser les femmes ! En voilà !!!

Courtin.

Dis donc, tu sais qu’il est toujours dans l’orangerie ?

Pomadour.

C’est juste… Voyons, il faut décider quelque chose. Je ne veux pas me battre, je ne veux pas faire de procès, je ne peux pas le déporter…

Courtin.

Si on pouvait lui imposer une forte amende.

Pomadour.

Tiens !… une amende !… c’est une idée !… Deux cents francs !

Piget.

C’est beaucoup.

Pomadour.

Nous le verrons venir… on est toujours à même de diminuer. Rappelez-le !… Rappelez ma femme.


Scène XV

Les Mêmes, Madame Pomadour, Adolphe ; puis Thomas
Madame Pomadour et Adolphe paraissent.
Pomadour.

Approchez, monsieur… Vous aussi, madame… (À Adolphe.) Après en avoir conféré avec mes témoins, nous avons trouvé convenable de vous condamner à une amende… proportionnée au délit… et nous avons pensé que deux cents francs…