Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 07.djvu/398

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Gatinais.

Bien entendu… mais un petit cocher… un cocher sans conséquence… J’en ai justement un sous la main.

Madame Gatinais.

Et les écuries, les remises… C’est absurde ! C’est ton jury qui te tourne la tête !

Gatinais.

Mais le macadam…

Madame Gatinais.

Eh bien, je prendrai un fiacre… ça me suffit… Une voiture ! a-t-on jamais vu !

Poteu, passant sa tête, bas à Gatinais.

Eh bien ?… où ça en est-il ?

Gatinais.

Ca s’arrange !

Il le repousse dans l’armoire.

Geindard, paraissant au fond.

Pardon… M. Edgard Vermillon n’est pas ici ?

Madame Gatinais, bas à son mari.

Quel est cet homme ?

Gatinais, bas.

Je ne le connais pas.

Geindard.

Je viens de chez lui. On m’a dit que je le trouverais ici… C’est un bien bon jeune homme, qui a l’obligeance de s’occuper de mon enquête.

Gatinais.

Quelle enquête ?