Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 09.djvu/458

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Duplan.

Oui, il a besoin de se rafraîchir.

Lucie, indiquant à droite une porte à Maurice.

Monsieur…

Maurice, bas à son père.

Allez… dépêchez-vous ! Sinon… je reste garçon ! (À Lucie.) Mademoiselle.

Duplan, à part.

Est-il ardent !… on voit qu’il a mordu dans le Vésuve.

Lucie et Maurice sortent par la droite.


Scène VIII

Pérugin, Madame Pérugin, Duplan ; puis Jules
Pérugin.

Si M. Duplan veut accepter un verre de sirop… ou de bière ?

Duplan.

Merci ; je ne prends jamais rien entre mes repas… (À part.) Il m’embarrasse avec ses demandes… je ne sais par où commencer. (Haut.) Vous avez une fille charmante, madame.

Pérugin.

Ce n’est pas pour me vanter, mais tout le monde dit qu’elle a une tête de Murillo.

Madame Pérugin.

Elle est encore bien enfant.