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Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 10.djvu/147

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Hector, riant.

C’était le tiers porteur !

Verdinet.

Ah ! très joli !… Au bout de deux mois, je voulus partir… Impossible ! Il trouvait que je n’étais pas assez consolé… et sa femme aussi ! Il voulait m’emmener chez lui, à sa campagne.

Hector.

Qu’avez-vous fait ?

Verdinet, se levant, ainsi qu’Hector.

Je m’en suis débarrassé en lui donnant mon adresse… une fausse adresse… et je n’en ai plus entendu parler !

Hector.

Ma foi ! j’ai bien envie d’essayer de votre recette… qu’est-ce que je risque ?

Verdinet.

Marié et trompé ! tout est là !

Hector.

Adieu !

Verdinet.

Vous sortez ?

Hector.

Je vais boire mon second verre d’eau. (À part.) Je cours rattraper ces dames !

Il prend son chapeau, qu’il avait posé sur les meringues, et sort vivement par le fond à gauche.