Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 10.djvu/180

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!… Vous ne rentrâtes que le matin… encore fut-on obligé de vous rapporter… et dans quel état !…

Henriette et Madame Désaubrais.

Oh !

Galinois.

Des amours alcooliques !

Hector.

Monsieur… mesdames ! je vous jure…

Madame Désaubrais.

Assez !…Ma nièce, allons nous habiller !

Hector.

Mais…

Henriette.

Assez !

Elle rentre à gauche avec madame Désaubrais.

Verdinet, à part.

En voilà un de blessé à mort… À l’autre, maintenant…

Hector, à Verdinet.

Ah çà ! monsieur, m’expliquerez-vous…

Verdinet.

Assez ! assez !

Il entre à gauche.

Hector, à part.

Ah ! c’est comme cela ! Eh bien, je me vengerai !…

Il veut sortir, Galinois le retient.

Galinois, avec une indignation contenue.

Monsieur, je suis un homme calme… Je suis un ancien notaire… Je ne veux pas excuser madame votre épouse… mais je déclare qu’elle a parfaitement fait !