Page:Laboulaye & Guiffrey - La propriété littéraire au XVIIIe siècle, 1859.djvu/657

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de la part d’un grand nombre de gens de lettres attachés k la perpétuité des privilèges. Mais la pluralité a été d’avis de ne demander aucun changement à ce préambule , par la raison que l’Académie a prévenu ces plaintes en écartant de son Mémoire la question de la propriété des ouvrages, quoique le plus grand nombre des Académiciens ait cru que les privilèges rétrocédés aux libraires devaient être limités. FIN DE L APPENDICE.