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Et la brise effeuillant les fleurs à peine écloses
Pour embaumer ton air de la senteur des roses,
Tout, voyant ta bonté fraternelle pour moi,
Tout m’eût peut-être aimé par amitié pour toi.
183.
Et la brise effeuillant les fleurs à peine écloses
Pour embaumer ton air de la senteur des roses,
Tout, voyant ta bonté fraternelle pour moi,
Tout m’eût peut-être aimé par amitié pour toi.
183.