Page:Lacaussade - Poésies, t2, 1897.djvu/181

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Une tonnelle verte à l’ombre des lilas,
Dont la fleur m’est si douce et meurt si vite, hélas !
Des livres, une femme, heureuse et jeune épouse,
Avec deux beaux enfants jouant sur la pelouse ;
Et, fermant de mes jours le cercle fortuné,
Le bonheur de mourir aux lieux où je suis né !