Page:Lacombe - Rapport fait par la citoyenne Lacombe.pdf/11

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empêcher le village.

eniin on nous accuse d’ctre contre Révolutionnaires ; an demande que je sois traduite au Comité de sureté géir. ! après plusieurs nouiors plus extravagantes les unes que les autres pour perdre la Cucićié čes Révolutionnaires, car il aloit la perdre a quelque prix que se fut on proposa de faire apposer les scellés chez moi mais Monsieur Chabot qui jusque 1. mavolt traitée comme un des chefs de la contre Revolunan : etoit si convaincu qu’il n’avoit été qu’un vil calomniateur, qu’il ne balanca pas pour dire, que cette derniere propoſnian e’o t un piega tendu a la Société des Jacobins, que fi en levint les scellé, on ne trouvoit que des papiers Patriotes chez moi, il me sero. facile de me justifier, mais qu’il me tenoit pour une Contra Rev.- lutionnaire, et qu’il faloit que sur l’instant je fusse mise a les ordres de Monsieur Chibor në furent point suivis, de point en point mais on m’envoya trois Gardes dans la tribune ou c’étoit d’autant plus indécent qu’il ni avoit que des femmes das s certe tribune me voila donc assise au milieu (018 en état d’arestation en présence de quatre mil Personnes Je dis a un des Gardes que s’il avoit des ordres pour me can- duire quelque part, il pouvoit me les intimer, que j’etois prote m. soumettre aux Loix, il me dit qu’il n’étoit pas encore temps qu’il faloit rescer la, comme je n’avois rien a me reprocher, il netoit as etun ant que Ma Phisicumonie sespirat le calme de Finocence, qui pourai se le persu ler, ce calmé même nraira les insultes les plus grossiérres, je m’entenduis dire voyez ecve nouvelle Cardet, qu’el fond elle à, rien ne peut deconcerter de pareles individus, pour me convoller un des Gardes ne disoit ces malheureux d’aller cocher en Prison Pourquoy plas malheureux pour moi que pour les autres, je tea sar menterai le nombre que d’un de plus. enfin à 9 heures et denie