Page:Lacuzon - Éternité, 1902.djvu/56

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et longtemps, tous les deux, nous fûmes à nous taire,
Laissant s’ouvrir à nous, dans de pareils instants,
Le ciel mystérieux et la nuit légendaire,
Et la mort nous parler comme à deux grands enfants…