Page:Lamairesse - L’Inde après le Bouddha.djvu/71

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 61 —

Le roi, dit la Légende, défendit qu’à l’avenir, on mît personne à mort.

Ce qui est certain, c’est qu’il entoura des plus grandes précautions le jugement des criminels. Nous l’avons vu dans ses Édits se montrer charitable en les condamnés à mort. Il veut trois jours de sursis entre la sentence et l’exécution, afin que par le repentir, des aumônes ou des jeûnes, ils puissent adoucir les châtiments qui les attendent dans une autre existence.