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Page:Lamarck - Histoire naturelle des animaux sans vertèbres, vol. 1.djvu/368

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Ce serait donc ici que je devrais terminer l’introduction essentielle à mon ouvrage, surtout l’intérêt croissant me paraissant à son plus haut terme dans cette sixième partie. Cependant le besoin des sciences zoologiques, l’arbitraire qui règne dans les parties de l’art qui y sont nécessaires, et les vacillations perpétuelles qu’entraîne cet arbitraire dans la distribution des objets, et, plus encore, dans les diverses sortes de coupes à établir parmi les animaux observés, me forcent d’y ajouter, ait moins comme appendice, une septième partie, qui est la suivante.

Ainsi, je vais m’occuper, dans cette septième et dernière partie, de la distribution générale des animaux, de ses divisions diverses, et spécialement des principes sur lesquels ces objets doivent être fondés, en proposant à leur égard, ceux qui me paraissent mériter l’assentiment des zoologistes.