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Page:Lamarck - Histoire naturelle des animaux sans vertèbres, vol. 1.djvu/392

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Telles sont les cinq sortes de rapports qu’il importe de distinguer, si l’on veut obtenir des principes qui interdisent l’arbitraire dans la détermination des vrais rapports et de leur valeur. Voici le tableau résumé de ces principes.

Tableau des principes pour la détermination des rapports, selon leurs différentes sortes.

(Première sorte : rapports d’espèces.)

Premier principe : Dans quelque rang que ce soit de l’échelle animale, le plus grand des rapports entre des animaux différens, est celui qui sert à rapprocher immédiatement les races entr’elles. Ce rapport exige, dans les animaux rapprochés, une grande ressemblance dans leur organisation intérieure ; les différences principales qui distinguent ces animaux, devant se trouver dans des particularités de leur forme, de leur taille ou de leurs parties externes.

(Deuxième sorte : rapports de masses.)

Second principe : Les rapports qui servent à former des masses et à les distinguer, ne doivent se tirer que de l’ensemble des parties qui composent l’organisation