Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 2.djvu/429

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Reçois, Dieu trois fois saint, cet encens dont tout fume !
Oui, c’est le seul bûcher que la terre t’allume,
C’est le charbon divin dont tu brûles nos sens.
Quand l’autel est souillé, la douleur est l’encens !