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JOURNAL D’UN BIBLIOPHILE

Les vendeurs dans le temple faisaient moins triste besogne que les trafiquants de sales productions qui corrompent les âmes, ternissent l’honneur de tout un peuple, pour la satisfaction de recevoir de l’argent.

Louis Fréchette disait qu’il aimait mieux sentir le parfum de la rose que de renifler les odeurs de ces brasseurs d’égouts.