Page:Lambert - Journal d'un bibliophile, 1927.djvu/9

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pu résister au désir de publier les lignes qui vont suivre, c’est qu’il avait en vue le bien de ses compatriotes auxquels il voudrait, si possible, insuffler un peu de l’amour qu’il ressent pour notre histoire et pour ceux qui l’ont faite ou relatée.

Et si, après la lecture de ces pauvres, de ces modestes pages, on se sent quelque peu plus sympathique envers nos écrivains, nos collections, nos bibliothèques ; si le livre canadien, par le fait même, trouve désormais dans votre cœur sa place élargie, son effort aura été satisfait amplement.