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à la terre



Mais ce poème heureux n’était qu’une chimère,
Car il est des amours trop beaux pour les nommer,
Et mon amour pour toi demeure inexprimé,
Ô bonne terre, ô mère !…


Absous-moi de ces vers qui gémissent en chœur,
Prends pitié de mon rêve impuissant et farouche.
Sois clémente à mes chants et pardonne à ma bouche
À cause de mon cœur !…