ou recueil des plans, élévations, coupes et profils des églises, palais, hôtels et maisons particulières de Paris, et des châteaux et maisons de campagne ou de plaisance des environs et de plusieurs autres endroits de France, par Marot père et fils. » Paris, chez Jean Mariette, 1727 ou 1731, in-fol. — « Le Petit Marot, ou recueil de divers morceaux d’architecture, gravés par J. Marot, » en 220 planches. Paris, 1764, gr. in-4o, fig. — Indépendamment de ces ouvrages Marot a publié en grand nombre des suites de compositions ou de reproductions d’édifices dont il est impossible de donner ici le détail[1] Il mourut, comme on l’a vu plus haut, à Paris, le 15 décembre 1679. (Jal. — Destailleur. — Brunet, Man. du libr.)
MAROT (Jean), architecte du roi, probablement de la famille du précédent , vivait encore en 1702 et demeurait à Paris, près des Gobelins. (Jal.)
MARQUELET (Robert), juré du roi en l’office de maçonnerie, et bourgeois de Paris sous Henri IV et Louis XIII. En 1601 il fit, pour le compte de la ville, divers travaux à des fontaines publiques. Il mourut à Paris le 20 avril 1625, et fut enterré dans l’église Saint-Nicolas-des-Champs, où son épitaphe relatait qu’il était né en Bourgogne en 1573, et qu’il avait été concierge et garde-meuble des Tuileries. Les armes de Marquelet étaient d’azur, avec un compas et une équerre d’or accompagnés de trois roses du même. (Berty et Legrand, t. II)
MARQUET fut, de 1765 à 177(1, architecte du roi
- ↑ Voir pour plus de renseignements le catalogue aussi complet que possible de l’Œuvre de Marot, publié par M. Bérard dans l’Annuaire de l’Architecte, Paris, 1864.
