de défense, « Jehan Recourt, maistre des œuvres de la conté de Saint Roi », fut chargé de recevoir ces travaux. (Bull. du Com., t. I, note de M. Dusevel.)
RECULÉ (Jean), l’un des maîtres d’œuvres de la ville de Béthune, est mentionné, en 1515, dans un compte conservé aux archives de cette ville, à propos d’une somme de six livres payée à son fils Louis « pour acheter son estude parisienne, prétendant à la saincte théologie ». Il fut plus tard envové à Arras, par le maire de Noyon, pour visiter les ouvrages de la porte de Ilagerue. (Mélicocq, Art. du Nord.)
REAULME (Mathieu) était maître des œuvres à Compiègne, en 1492. (Mélicocq, Art. du Nord.)
REAULME (Gilles), fils du précédent, maître des œuvres à Compiègne, succéda à son père en 1526. (Mélicocq, Art. du Nord.)
REGNARD (Jean). Mentionné dans un document de 1174, et qualifié de maître des œuvres de maçonnerie pour le roi en Touraine, il procéda, avec un maître des œuvres de charpenterie nommé René Chouain, au partage d’une maison située à Tours, près la porte de « l hopitau ». Il figure également dans un compte finissant en 1400, et reçoit des honoraires « pour avoir esté visiter les grans ponts de Loire et les ponts de Saincte-Anne, par dessoubz, avec un basteau, pour ce qu’on disoit qu’ils estoient en danger pour la creue des eaues qui estoit survenue, et pour savoir quelles réparations il y convenoit faire. » (Grandmaison.)
REGNAULT (Mathieu). C’était spécialement un
