Page:Landes - Contes et légendes annamites, 1886.djvu/230

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et construisent un pont de bambous entre les deux mièn. Sur ce pont ils déposent leurs offrandes.

Aussitôt que la supplique a été brûlée ils s’empressent de s’en aller, de peur que la pluie n’enfle subitement le torrent et que le pont de bambou ne soit emporté.