projeté devant Québec, à l’échelle de 50 pieds au pouce.
Planche No 11 : Idem, à l’échelle de 100 pieds au pouce.
Planches Nos 12 et 17 : Plan général du Saint-Laurent, de Québec à l’Ange-Gardien.
Planche No 13 : Élévation générale du pont
projeté à l’île d’Orléans, entre la pointe Martinière
et Ste-Pétronille (bras sud).
Planche No 14 : Élévations générales de deux
ponts projetés à l’île d’Orléans, sur le bras nord,
entre St-Pierre et l’Ange-Gardien.
Planches Nos 15 et 16 : Épures de résistances
des grandes poutres du cantilever (pont devant Québec).
En principe, Monsieur Bonnin est opposé au pont en amont de la ville. Selon lui l’emplacement du pont de Québec est tout indiqué. « Nous croyons, dit-il, que, quelle soit la différence des coûts, un tracé en aval, ou mieux, un tracé à Québec même, doit être adopté ».
L’ouvrage serait situé un peu en amont de la citadelle, près des anciennes fortifications françaises. Il comporterait deux grandes travées centrales de 1360 pieds d’ouverture et deux travées de rive de 545 pieds de portée libre, ce qui lui donnerait, y compris la largeur des piles et la longueur des viaducs d’accès, une longueur totale d’environ 4834 pieds.
La superstructure métallique serait du type cantilever, posant sur des piles en maçonnerie. L’appui placé au millieu du fleuve serait formé d’une pile double, tandis que les autres supports seraient simples.
La plus grande hauteur libre que laisserait le pont au-dessus du niveau du fleuve serait de 165 pieds, à mer haute.